#18 : Un anniversaire, du repos et des rencontres

Après nos péripéties pré et post arrivée au Panama, il était nécessaire de se (re)poser et de célébrer l’anniversaire #1 des Gavazz'6 : celui de Gla.

Nous avons élu domicile à Santa Corona (pas de jeu de mot !) puis Pedasi.

Aujourd'hui, Gla ouvre le bal des anniversaires en voyage

C’était un de nos souhaits : que chacun de nous 6 fête son anniversaire en voyage. Nous avons commencé, il faudra rester au moins jusqu’au 26 juillet !

Les grands ont indiqué à Tom que c’était l’anniversaire de maman. Il a dit "mais non coco, c'est celui de mamie ! "

Martin dira " ah ouais maman, presque 40 !"

Gla, qu’elles sont les premières impressions du logement ? « Oui, splendide, presque à couper le souffle... »

En toute discrétion, Olivier avait repéré cet endroit depuis plusieurs jours et avait réservé en amont, il n’était pas possible de se tromper aujourd’hui. Pas de faux plan !

Nous nous installons, Olivier et Jules partent faire les courses. Ils trouveront du ravitaillement dans une station-service et un mini-mercado local qui a tenté de nous arnaquer : pour déterminer l’addition, le caissier utilise une calculatrice et quand il annonce le prix, notre réponse est « es muy caro » (phrase typique d’un aveyronnais). Il recompte et le résultat a baissé d’un 1/3, il nous indique plein d’aplomb qu’il a dû garder en mémoire sur sa calculatrice le montant du client précédent....

On a de quoi manger pour ce soir, on fera mieux demain pour de grandes courses.

Jules pensera à acheter une tablette de chocolat en guise de gâteau d'anniversaire, merci beaucoup mon Juju pour toutes ces attentions.

Les zouaves sont lâchés à la piscine à débordement de l'hôtel... Il a fallu recadrer vite fait même si l’hôtel est vide ou presque : on a vu 3 voitures sur le parking !!!

Ça n'a pas duré longtemps... Mais ils n'avaient pas imaginé une seule seconde que rester immobile à contempler l'océan ou nager paisiblement était de rigueur dans ce lieu !!! (Ni dans un autre d'ailleurs, leur état inactif est rare ; même quand ils dorment ils arrivent à faire du bruit !).

La nuit tombe relativement tôt ici, vers 18h.

Vers 19h30, on fait un apéro d'anniversaire et on n'attendra pas les fêtes de fin d'année pour attaquer le foie gras de Djamila et Vincent ! Merci beaucoup ! J'espère que vous ne nous en voudrez pas. On a tous kiffé.

Ce fut une très longue et agréable journée d'anniversaire pour Gla puisqu’elle a reçu des messages tôt le matin pour en profiter jusqu'à tard avec ses 5 mecs 😏

Le bruit si apaisant des vagues et de voir mes chéris si contents me requinque et me remet du baume au cœur d’être si loin, pour aussi longtemps... de la France.

Gla n’a pas soufflé les bougies qui sont dans la remorque, de toute façon il y en avait trop à prévoir lui dira-t-on, mais elle se rappellera certainement nous l’espérons pour longtemps de cet anniversaire en voyage.

Les enfants ont réalisé des dessins en guise de cadeau d'anniversaire. Maxence a fait le drapeau du Panama et d'autres dessins, Jules a créé ma figurine Brawl star : gladix, lanceuse de seringues et Martin a réalisé un avion en papier, superbe, on espère pouvoir le garder intact...moins facile quand c'est en 3D.

Merci mes Gavazz'6 🥰

Le lendemain matin, nous regardons depuis notre 14ème étage sur 15, la vue sur la mer et la piscine à débordement … vide !!!

Les enfants prennent un "ronflon" et on leur met la faute sur le dos, leur comportement de la veille ayant engendré la vidange de la piscine.

Nous nous excuserons quelques heures plus tard, quand nous verrons une piscine à nouveau pourvue de liquide …

Niveau école, nous continuons à notre rythme et avons reçu par mails les évaluations d'entrée en 6ème pour Jules. Nous sommes vraiment contents. Il peut être fier de lui.

Nous tenons par ce biais à remercier l'équipe enseignante de l'école Claude Nougaro qui est top.

Et à féliciter Jules également d'avoir assuré.

Le reste du week-end est constitué de plages, baignade, clasico (le vrai pas une pale copie française), complément de courses, piscine, sieste, farniente, appel audio des parents, …

On ne fait rien et on en a besoin.

Panorama de photos

et de vidéos

Maxou ne résiste pas aux vagues malgré ces biscotos

Vidéo de présentation de "notre plage"

Nous sommes déjà lundi et il est temps de quitter ce magnifique lieu, direction Pedasi mais avant ce sera plage le matin dans ce lieu fantastique : encore de bonnes vagues pour les grands. Tom est un peu sur la retenue... On préfère. Et puis "elles sont coquines ces vagues, elles me prennent la casquette ! »

Olivier perdra sa deuxième paire de lunettes en voulant lutter face à une vague un peu trop puissante... On est bon niveau pertes, on tient le rythme !

Il est vite l'heure de remonter à l'appartement piso 14, de se doucher, fermer les valises, ranger, manger, nettoyer et prendre la route.

On rend les clés à 12h comme prévu.

On prend la route (3h prévue), sereins, prêts pour de nouvelles aventures.

Gla passe derrière avec les 3 plus petits zigotos, qui feront un peu de sieste...

Notre ardeur sera vite freinée puisque quelques kms après notre départ, on se fait arrêter par un policier qui nous affirme que notre vitesse est excessive : 93 km/h au lieu de 60.

Olivier tend son permis français et le policier nous fait un prix sur l'amende, trop sympa le mec, de 150$ à 100$. Négo commerciale en disant que nous n’avons pas cet argent en liquide, on s'en sortira pour 50 dollars...

On s'est fait entuber là aussi, non ??? Oui, oui on confirme !!

Et nous avons l'impression que ce ne sont que les prémices ou du moins un tout petit aperçu de ce que peut être la corruption (oups, on ose le dire) en Amérique du Sud et centrale.

On poursuivra la route. Jules est vigilant quant à la vitesse et ne manque pas de se manifester au besoin via Waze qui est très précis également ici.

On s’arrête pour faire le plein de SP95 : verdict 37 litres pour 35$ soit 30€

C’est même moins cher que ce que nous avions budgété : on prend !!!

Sur la route, on essaie de s'imaginer comment va être notre logement loué sur Airbnb à un Français à 19€ la nuit pour nous 6...

Pour vous donner un ordre d’idée le prix moyen des nuits au Panama est de 60 à 80€ la nuit. Ça c’est plus cher que ce que nous avions budgété mais le Panama est un pays «riche» pour l’Amérique du Sud.

Nous sommes à Pedasi, petit village, pas de tour uniquement des « petites » maisons typiques. Très propre, vivant. Les habitants semblent avoir oublié un peu le masque ici contrairement à ce qu'on avait pu voir depuis notre arrivée au Panama. Ça nous va très bien !

Serge nous attend à la maison louée sur Airbnb. Il parle français. Il y a des poules partout dans les rues. Tom s'amusera à les appeler comme les poules de Mamé : "pletou pletou pletou" sans succès.

Nous rencontrons nos voisins : Sabine, Jean et leurs enfants une famille de toulousains qui vient s'installer au Panama et Anthony leur copain qui travaille également au Panama.

On prend des infos des endroits où aller, où faire les courses, où manger (oui, important pour nous, vous savez !)

On mangera des pâtes... Les restaurants conseillés étant fermés le lundi. On couchera les enfants et on se laissera inviter par nos nouveaux voisins.

(Soyez rassurées les mamies, c'était sur la terrasse juste à côté de la chambre des enfants)

On papotera plusieurs heures avec beaucoup de plaisir.

On se rend compte que nous n'aurions pas pu faire cette même soirée s'ils n'avaient pas parlé français... Il faut vraiment se mettre à l'espagnol et les enfants aussi.

Gla a quelques idées pour la suite pour améliorer notre espagnol vitesse grand V....

La pluie nous délogera de la terrasse et écourtera nos discussions puisqu’assez sonores mais n’impactera pas le sommeil des enfants...(cf vidéo)

Ils ont eu un peu de mal à s'endormir puisque Tom a repéré des petits lézards sur le mur et n'était pas rassuré. On leur précisera - pour les réconcilier - que ces bestioles (les margouillas) se nourrissent de moustiques...et des éventuels paquets de gâteaux que nous pourrions malencontreusement laisser ouverts et à disposition (Merci aussi pour ces infos Sabine et Jean).

On s’habitue assez vite à cette ville/village plein de bienveillance : il y a un même une boulangerie Française où nous commandons une baguette et demain on se fera peut-être bien une chocolatine au ptit dej’.

Seulement après quelques jours hors de France on peut déjà lister les éléments qui risquent de nous manquer :

- Du vrai pain

- Du fromage et produits laitiers en tout genre

- Les caleçons d’Olivier

On part à la visite des plages environnantes mais évitons de nous baigner trop longtemps car la pluie qui menace attire des « moustiques d’eau » assez virulents. Une couleuvre jaune et noire s’est aussi immiscée sur notre terrain de jeux où nous ferons également un peu de sport sur la Playa Arenal, face à Isla Iguana.

Cette matinée était orageuse et sur la fin pluvieuse. Il était temps de rentrer. Nous craignons pour la voiture de loc’ à cause du sable….

On fait tous attention et ça passe pour cette fois ci.

Les enfants ont échappé à la dictée de l'après-midi, préférant aller faire des jeux de société avec les petits voisins français.

Martin a reçu, par le biais de l'ENT de l'école Claude Nougaro, et de sa super maîtresse, des nouvelles de sa classe. Il était très ému et ravi. Il prépare sa réponse....

Nous irons à Playa Arenal, comme le matin, mais à droite des bateaux de pêcheurs, rejoindre nos voisins. Les enfants se sont régalés. Des chitras (comme des tiques) et la nuit tombant nous ont fait rentrer.

Nous n'avons toujours pas de nouvelles de notre container.

Olivier se permet de relancer la compagnie maritime de façon à ce qu'elle confirme le départ du bateau avec notre container.

Pour rappel, initialement, le container devait prendre le bateau le lundi 18 octobre, le bateau ne passant plus par Fos sur Mer, le départ a été reporté au lundi 25 octobre sur un autre bateau. Nous sommes le 26, nous voulons savoir si tout est ok.

Ce soir c'est restaurant : nous partons au restaurant le Chichemito conseillé par plusieurs personnes avec qui on avait pu discuter.

Côtes de porc, poulet, beignets de bananes plantain ... Et helados : ça y est on a attaqué les glaces...

On a d'ailleurs aussi commencé avec l'eau du robinet. Warrior, enfin on va rester prudent... La turista est une des hantises de Gla.

On n'a effectivement pas été déçu : excellent.

La nuit fut compliquée pour Gla : la pluie sur le toit en tôle, les aboiements des chiens, le réveil des coqs à 5h, le réveil des oiseaux à 6h (ce ne sont pas des blagues : "écoutez"), le départ du bus scolaire à 6h30 et le réveil de nos zigotos en suivant.... on va investir dans des bouchons d'oreilles et des masques pour mettre sur les yeux cette fois !

En effet, il n'y a pas de fenêtre. En revanche il y a des ouvertures permanentes au sein des murs.

Ça permet de ventiler et d'éviter les moisissures (on a bien remarqué que de faire sécher du linge était une tâche ardue) et, par conséquent, d'un point de vue sonore c'est beaucoup moins performant !!!

Va bien falloir s'adapter.

Ecoutez le bruit de la pluie

et des oiseaux (il est 6h, et il fait déjà bien jour)

Les gars sont levés, on n'a plus qu'à déjeuner et à faire l'école.... Ça leur apprendra à nous sortir du lit si tôt !

La dictée du jour nous montrera des lacunes certaines... On va télécharger des e-books pour la lecture.

Maxence débute dans les fractions. Ce n'est pas simple... On ne coupera pas des gâteaux ou des pizzas en parts mais bien des rondelles de saucisson...

Gla regarde ses mails, vite fait, et tombe sur un mail ayant comme objet " départ du container de Fos sur mer". Vite on ouvre : le début du message est le suivant : " je n'ai malheureusement pas de bonnes nouvelles…" On vous épargnera la suite du mail.

En gros, notre container est resté à quai, à Fos et il ne partirait (conditionnel) que lundi prochain, soit le 01/11 pour arriver le 20/11.

Un coup de massue ravageur après les "mauvaises" conditions pour un sommeil réparateur et les tentatives d'explication crispantes des fractions, entre autres.

Allez, c'est bon, on part à la plage avec les copains (oui, vous savez nos voisins toulousains, on les pégue un peu depuis 2j) ...

On fera des courses de vitesse sur la plage... Maxence explosera sa mère à chaque fois !

Martin reprécisera la normalité de la chose à cause de l'âge de ladite mère !

La plage a été bénéfique pour tous.

Cet après-midi va être consacré à :

- contacter la compagnie maritime pour demander des explications complémentaires, manifester notre mécontentement ou plutôt déconvenue perturbant nos plans : effectivement, au lieu de rester 3 jours à Carthagène à attendre le container, à ce jour, on y reste 10 ! Ce n’'est pas la même chose... Sans logement, sans voiture...

- réserver un logement à Carthagène pour 10j : il faut trouver le bon endroit central mais pas trop bruyant et avec pas mal d’activités pour nous

- planifier la suite des visites au Panama : on aimerait aller sur une île, voir le canal...

- trouver des ebooks pour les enfants

- faire les comptes puisque nous avions budgété avec remorque et 4x4 donc sans trop de logements ni de location de voiture...

- vous donner des nouvelles

- ...

- repartir à la plage

Bref, encore quelques petites choses à régler mais Gavazz'6 est plein de ressources et une des phrases que l'on entend ici c'est

" L'intelligence c'est aussi la capacité à s'adapter"

On ne va donc pas baisser les bras mais bien au contraire tenter de se montrer intelligent et trouver des idées qui pourraient devenir des solutions futures.

L'océan était déchaîné à Playa Toro en fin d'après-midi. Par prudence (ou trouille, comme vous voulez) on écourtera la baignade dans ces hautes vagues.

Puis on organisera des courses en relais jusqu'à rejoindre les voitures avant que la marée montante nous y en empêche. Heureusement que Martin avait mal aux pieds... Il va vite, très vite le chenapan.

Les papas ont réussi à trouver des pizzas pour le repas de ce soir.

Les enfants ont joué au kem's puis dodo bien mérité pour tout le monde.

Le lendemain, c’est l'heure de quitter les lieux et d'aller dans une autre maison comme dirait Tom.

Le temps de dire au revoir à nos nouveaux copains, de leur souhaiter bonne chance, de s'arrêter à la boulangerie française pour acheter des croissants et des chocolatines (même là-bas ils connaissent, plus besoin de débat, les pains au chocolat sont définitivement mis aux oubliettes !!! On ne sait même pas pourquoi on vous en parle ici)

Nous voilà sur une route que l'on connaît du moins au début puisqu’on y est passé il y a 3 jours, dans l'autre sens.

Effectivement au Panama le réseau routier est assez simple

- Une « autoroute » qui traverse le Panama : la panaméricaine

- Des routes annexes reliées à la panaméricaine

- Pas (ou très peu) de routes qui relient les routes annexes entres-elles

Cette portion de route est agréable dans le sens où le goudron est bien reparti. Il faut simplement contrôler sa vitesse... Aujourd'hui, c'est Martin qui veille au grain.

Sur la route, on a vu pêle-mêle :

- des piquets de clôture se transformer en arbre. Sabine et Jean nous en avaient parlé la veille : au départ ce sont de simples piquets en bois, autour desquels il y a du fil barbelé puis des branches démarrent de ces mêmes piquets et, au fil du temps, dans ce pays où la végétation est reine, des arbres grandissent

- des hommes à cheval

- des vaches à bosses, à défaut de baleines !

- des poules (ce qui a donné l'idée aux garçons de vouloir un poulailler à Albi dès notre retour, avec un coq... Qui dit mieux !)

- des panneaux publicitaires placardés sur le flanc d'une montagne : sacrilège !

- le feu entre deux chaussées, sur le terre-plein (on ne sait pas si c'était volontaire, en tous cas, il n'y avait personne aux alentours... En France, on en connait qui, pour moins que ça, ont été au tribunal et écopé d'une amende salée !)

- des files de maisons aux 1001 couleurs (ok, c'est exagéré, on a vu du vert, du rose, du bleu, du blanc/beige, du vert pâle), c'est tellement joli quand c'est harmonieux et des pneus colorés de la même façon ou pas en guise de pots de fleurs. Sympa l'idée DIY pour le futur.

- des églises, pas comme chez nous, mais tout aussi belles

- des tienda, des fonda de tout

- la police en quad, en pick-up, à moto - des maisons entourées de grilles Dans certaines régions c'est pour éviter que les crocodiles ne pénètrent dans les maisons quand il y a des mangroves autour... Alors là, on croyait que c'était pour bluffer et faire peur aux enfants pour éviter qu'ils ne s'approchent des eaux troubles lors de notre sortie à Playa Toro, la veille... En tous cas, on y croit !

- un champ de poubelles, c'était moins sympathique... L'occasion de remettre un petit coup sur notre consommation et la gestion des déchets...

- des champs de maïs, qui d'après les enfants sont mûrs et prêts à être ensilés : papi, va falloir prévoir de ramener des bennes... Cela paraît probable puisqu'on a vu des ensileuses. À ce sujet, les enfants ont réfléchi sur le fait qu'il n'y avait pas de granges de stockage de foin. Leur conclusion a été qu'il n'y avait pas ce besoin puisqu'il faisait beau tout le temps ici et que les fourrages pour l'hiver comme chez nous, ce n'était pas nécessaire. S'il y a d'autres explications, on est preneur puisqu’au grand regret de Maxence, nous n'avons pas pu encore aller voir une ferme de près et les explications la concernant.

Et on a aussi entendu des oiseaux qui sifflent presque aussi bien que Papi.

Oui, tout ça sur cette route cabossée, avec nids de poules parsemés de ci de là

Ça en revanche, on n'a pas trouvé d'explication si ce n'est qu'ils ne mettent pas les mêmes moyens à l'entretien des chaussées et que les conditions climatiques pluies parfois torrentielles/ chaleur ne sont probablement pas adéquates au bon maintien du goudron dans un état convenable.

Mais la beauté de la nature autour, dans ces contrées plus vallonnées que là où nous étions précédemment compensait largement avec l'état des routes, tout du moins d'un point de vue passager !

Côté conducteur ce n'est pas la joie : les 25 derniers km il faut compter 39 minutes ... avec un 4x4. On n'a pas compté les nids de poules, ni les dos d'âne...

Niveau péripéties du jour :

- 1/2 nouvelles claquettes de Tom perdues (les pas trop coquines qui ne s'enlevaient pas trop souvent)

- un vomi, dans le sac prévu à cet effet, donc ça va

- des enfants un peu blasés…

- obligation de devoir faire les courses, à 2h avant d'arriver à notre futur logement car c’est très très perdu

Points forts et positifs de ces derniers jours :

- Maxence a compris les fractions. Alléluia !

- Tom s'est endormi tout seul

- Pas d'allergie au pollen pour Olivier

- Pas besoin de parler espagnol pour jouer au foot

- nous n'avons pas été embêtés par les moustiques ... On verra les dégâts dans les prochains jours car à Santa Catalina c’est très très humide

Les enfants ont commencé une liste non exhaustive de choses que les Papis et Mamies pourraient leur ramener dans leur valise (on vous donnera un petit aperçu plus tard...)

Nous sommes très contents en voyage même si parfois, il faut le dire, on ferait bien de la purée d'enfants...

On se rend compte de façon plus précise, le coeur un peu lourd, qu'on ne sera pas auprès des nôtres lors des fêtes de famille qui approchent à l'occasion de la Toussaint... On ne pourra effectivement pas participer en présentiel ... On le fera en Visio, promis ! C'est à la mode en plus.

Allez, au dodo en écoutant la musique de la nature...

Non pas les ronflements d'Oliver... On dirait des cigales qui chantent... On se renseignera demain. En revanche, on espère voir des colibris...

Prochaine étape : Santa Catilina : le paradis des surfeurs et de la nature.

NB : Gla ne remplit plus son journal.... Ça explique pourquoi il y a des "lâchages" sur le blog !

Mais rassurez-vous, Gla dresse toujours des listes !!!! Et veille au rangement de boites dans des boites...Mais elle a comprit qu'un sac devait pouvoir se fermer ! En progrès malgré tout...